Compréhension orale n°15 FLE « Le kiosque à journaux » d’après Karambolage – Niveaux B2-C1 – PREMIUM

Un nouveau sujet passionnant de compréhension orale pour les niveaux B2-C1 est arrivé et encore une fois il vous fait découvrir des aspects typiques ou surprenants de l’Hexagone !

La vidéo que nous avons choisie pour cette compréhension orale vous fera découvrir l’histoire des kiosques parisiens et est extraite du célèbre magazine d’ARTE Karambolage que vous avez sûrement déjà eu l’occasion de visionner si vous connaissez ce blog. Après le visionnage, vous répondrez à une courte série de 8 questions sur le sujet.

 Nous vous proposons dans ce billet de :

  • visionner la vidéo
  • répondre aux 8 questions de compréhension et de poster vos réponses en commentaires

Le sujet est adapté à des niveaux B2 et plus.

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Compréhension orale n°15 FLE « Le kiosque à journaux » d’après Karambolage – PREMIUM

1. Vidéo

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8 réflexions sur “Compréhension orale n°15 FLE « Le kiosque à journaux » d’après Karambolage – Niveaux B2-C1 – PREMIUM


  1. faux
    Pour des raisons de rendre la ville plus en ordre et plus cohérente.
    a/b/c/d
    400
    d.
    a/c/d
    non
    b


    1. faux
      Pour des raisons de rendre la ville plus en ordre et plus cohérente.
      a/b/c/d
      400
      d.
      a/c/d
      non
      b


      1. La voici :
        Paris, ses terrasses, ses entrées de métro Art Nouveau, sa Tour Eiffel et… et… ses célèbres kiosques à journaux. Comme beaucoup de Parisiens, j’aime bien me rendre au kiosque du coin de ma rue pour acheter le journal, ou une revue. Je peine toujours à retrouver mes titres favoris sur les présentoirs trop remplis de magazines aux thématiques étonnantes, mais c’est ce qui fait tout le charme de l’expérience. Ces kiosques sont des éléments incontournables du Paris des cartes postales. Vous avez forcément en tête cet édifice en fonte vert bouteille avec son dôme et sa petite frise en fer forgé.
        Conçu par l’architecte Gabriel Davioud, cet espèce de mini-monument au charme désuet fait partie du paysage depuis le milieu du XIXe siècle. Avant son apparition, les journaux sont vendus dans de miteuses petites baraques en bois qui font un peu désordre dans la capitale. Et c’est au nom de la salubrité et de la modernité que le baron Haussmann demande à Davioud de créer ces kiosques. Ce mobilier fait alors partie d’un programme systématique d’ameublement des parcs, squares et artères principales de la capitale, qui comprend également des bancs, des grilles, des panneaux, des corsets-tuteurs pour les arbres, des lampadaires, etc.
        Tous ces éléments, réalisés en série, contribuent alors à créer le paysage urbain, uniforme et cohérent du Nouveau Paris, capitale moderne des XIXe et XXe siècle et modèle pour les grandes villes européennes.
        Mais aujourd’hui, ils ont fait leur temps. La Mairie de Paris a annoncé le remplacement des 400 kiosques décrétés inconfortables : on y mourrait de froid en hiver, de chaud en été, étriqués et vieillots.
        Alors ces nouveaux kiosques sont plus spacieux, plus confortables, même éco-performants grâce à des panneaux solaires. A l’heure d’internet et de la crise de la presse, la vente de journaux ne suffit plus, donc on pourra y faire plein de choses : recharger son téléphone, déposer ses piles usagées, poster son courrier, et même acheter des billets de spectacle ou trouver son chemin sur des cartes interactives.

        Alors, contents les Parisiens ?
        Pas du tout !
        Bien au contraire. Les nouveaux modèles de kiosque ont suscité une véritable levée de boucliers et sont comparés à des photocopieuses ou à des bennes à ordures. Devant ce tollé, la Mairie a accepté de revoir sa copie, les toits ont été modifiés pour donner un aspect un peu plus ancien et la peinture verte a été préférée au gris métal. Vous le voyez, il est toujours délicat de toucher au patrimoine urbain parisien : ces kiosques qui ont été peints, photographiés, filmés, décrits, chantés sans discontinuité depuis plus de 150 ans constituent en fait une partie de l’identité de la capitale et de son imaginaire. Quelque chose me dit pourtant que dans 50 ans de cela, d’autres se battront pour ces photocopieuses au charme si typique du début du XXI siècle.

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